Prendre du poids en faisant du Sport

On aime prendre soin de soi pour avoir un corps dans lequel on se sent bien. À part le régime, le sport fait partie des programmes qui aident à perdre du poids. En effet, durant les exercices physiques, le corps utilise ses réserves en glycogènes pour approvisionner les muscles en énergie. Selon la durée, l’intensité et la récurrence de l’activité physique, l’organisme utilise les graisses et les sucres en les transformant en calories. Même si diminuer les calories absorbées est moins complexe que puiser dans les réserves énergétiques, la pratique du sport aide à sculpter les muscles. De ce fait, s’exercer régulièrement développe la masse musculaire et peut tromper la balance lors de la mesure du poids. En fait, les muscles sont plus lourds que les graisses et cela peut confondre les idées surfaites que le sport fait perdre du poids. La tonification de la musculature est beaucoup plus avantageuse car cela aide à façonner la silhouette.

Les activités physiques qui font perdre le gras

Plusieurs exercices peuvent aider à perdre du gras mais, en salle comme dans la nature, la marche est idéale. Elle a diverses variantes comme la marche nordique, la randonnée ou le running. Ces sports d’endurance sont des méthodes infaillibles pour brûler les calories.
Le cardio training regroupe les activités physiques comme la natation, le footing, le vélo, la zumba etc. Il est aussi efficace pour développer la masse musculaire et perdre du gras.
La musculation comporte différents exercices qui ciblent les parties du corps à sculpter. Elle élève le métabolisme basal.
Après une heure d’exercices, le corps continue à dépenser de l’énergie en utilisant la masse graisseuse.

Le principe de la chute libre indoor

En chute libre indoor, pas besoin d’un avion à partir duquel sauter ni même de se trouver en haute altitude. C’est grâce à un flux d’air en soufflerie que les participants ont cette sensation de sauter dans le vide et de flotter dans l’air. Les sensations ressenties sont à peu près les mêmes que celles lors d’un saut en parachute mais en chute libre indoor, vous ne risquez aucun danger. Ce sont de puissants moteurs de 300 kW qui font souffler de l’air qui peut aller jusqu’à 320 km/h à l’intérieur d’un long tube. Celui-ci mesure 14 à 17 m de long pour 4 à 5 m de diamètre et il comporte une partie vitrée de 4 à 8 m de haut qui vous permet d’admirer le paysage alentour.

La chute libre indoor, un vrai sport

Quoi qu’en disent ses détracteurs, la chute libre indoor est véritablement un sport. Des championnats ont déjà été organisés en France et un championnat mondial a déjà eu lieu également. On attend des compétiteurs qu’ils réalisent des figures acrobatiques spécifiques, ce peut être un vol dynamique à 2 ou à 4, un vol relatif à 4, du freestyle, etc. Ces figures ou les chorégraphies, imposées ou non, doivent être réalisées durant un délai précis. Ce sport est pour vous si vous n’avez pas de problème au dos, aux épaules, au cou et au cœur.

Des exercices cardiovasculaires chez soi : est-ce possible ?

Ce type d’activité a pour but d’améliorer l’endurance et est également conseillé aux personnes ayant des problèmes cardiaques ou respiratoires. En principe, les exercices cardiovasculaires sont pratiqués en plein air. La natation, le jogging, la marche, le vélo et la course à pied. Par contre, la danse, les fentes, la corde à sauter sont d’excellentes options pour ceux qui préfèrent le sport à la maison. Il ne faut pas oublier le vélo d’appartement qui est fait pour les amateurs de vitesse.

Les escaliers, une solution facile

Lorsque la situation l’exige, il faut utiliser les moyens du bord pour faire du sport. Pour brûler rapidement les calories accumulées pendant la journée, rien ne vaut les escaliers. Dirigez-vous vers les escaliers pour faire une série de dix exercices pendant au moins 15 minutes. Il s’agit ici de monter et descendre les marches à chaque série. Cette solution est idéale pour tonifier les muscles du bassin, pour sculpter les muscles des jambes ainsi que pour lutter contre l’accumulation de masse graisseuse sur la partie inférieure du corps.

Suivre des coachings en ligne

Puisqu’aucune salle de sport ne peut ouvrir ses portes pendant cette crise sanitaire, transformant le salon en salle de sport ! La première étape est de rechercher des coachings en ligne. La deuxième étape est de s’inscrire ou de s’abonner à un ou plusieurs coachings compatibles à votre condition physique. Pour la suite, il suffit de s’équiper afin de mieux suivre les exercices.

Des équipements au moindre coût

Faire du sport à domicile ne nécessite pas beaucoup d’équipements, voire même aucun. Il n’est pas obligatoire d’investir dans des tapis roulants. Il suffit de bouger dans une tenue de sport confortable et qui nous rend à l’aise et de se munir d’un tapis de fitness, d’élastiques, de cordes à sauter et de bouteilles en plastique remplies d’eau.

Des exercices en ligne

Il existe plusieurs plateformes gratuites comme les vidéos en ligne ou des applications à télécharger. Pour les plus déterminés, des coachs sportifs offrent des programmes accessibles grâce aux abonnements payants ainsi que des suivis personnalisés. Pour se motiver, on va dans les groupes spécialisés dans les réseaux sociaux où on y trouve des partages de conseils ainsi que d’expériences.

Une discipline développée

Faire du sport à domicile nécessite une certaine autodiscipline. En effet, cette pratique implique une force mentale consistant à résister aux plaisirs faciles puisqu’on se trouve chez soi. On peut vite abandonner d’une minute à l’autre ou on peut être distrait. Cependant, ne pas lâcher sa séance procure une satisfaction supplémentaire et on peut être fier de ne pas y avoir renoncé.
En parallèle, on n’oublie pas se surveiller l’alimentation qui reste le plus important. Une alimentation saine et équilibrée contribue majoritairement aux résultats surtout si on est dans un régime.

Présentation de ce qu’est un élastique de natation

Un élastique de natation, aussi baptisé ceinture de natation, est utilisé entre autres pour faire de l’aquagym. Cette ceinture est composée de 2 éléments : le harnais et l’élastique. Le harnais s’attache autour de la taille ou de la cheville et l’élastique se fixe autour du bas du bassin. Elle est aussi dotée d’une bouée hydrodynamique et résistante. Son utilisation régularise la puissance des mouvements lors de la nage. Elle permet également de répartir la pression exercée et la force de traction lors de la nage. Installé autour de la taille, l’élastique de natation permet d’affiner la taille grâce à la pression exercée et aux exercices abdominaux.

Les critères à considérer pour acheter une ceinture de natation

Lorsque vous achetez un élastique de natation, choisissez bien la qualité du harnais de sécurité. Il doit être fait avec un matériel qui allie solidité et confort. Il faut aussi que le système de fermeture résiste à un usage fréquent et facile à manier. Par ailleurs, il est essentiel de prévoir une rallonge pour pouvoir l’agrandir. Vous devez également vérifier la longueur de la sangle qui rattache le harnais au bassin. Celui-ci doit être assez long pour permettre une bonne liberté de mouvement. Vérifiez également que la fixation est assez solide pour supporter la pression exercée par le corps lors des mouvements. Ensuite, choisissez les bonnes matières. Les sangles en latex et la ceinture en néoprène sont celles qui offrent le plus de souplesse et de confort durant les exercices. Enfin, évaluez bien le prix proposé. Attention, ce qui est cher n’est pas forcément ce qui est le mieux. Optez pour un modèle offrant un meilleur rapport qualité-prix. Pour avoir une idée, n’hésitez pas à demander des conseils à un professionnel ou à lire les avis sur internet.

L’histoire de la boxe thaï

Le Muay Thaï est un sport de combat développé par des militaires thaïlandais de l’époque. C’est une discipline qui utilise huit points de contact, à savoir les coups de poings, de pieds, de genoux et de coudes. Faute de pouvoir retracer l’histoire complète de la boxe thaï, on va s’appuyer sur la légende. D’après le récit, le Muay thaï fut créé vers le XVe, après la mort du roi Sen Muang Ma. Pour se départager le pouvoir, les deux fils du roi, Ki et Fang se sont battus dans un combat au corps à corps. Fang fut battu, laissant ainsi à Ki l’accès au trône. C’est après ce duel légendaire qu’est née cette technique de combat. Toutefois, c’est seulement un siècle plus tard que le Muay thaï fut repris dans l’entrainement militaire des soldats. Depuis, la boxe thaï s’est développée jusqu’à nos jours.

Les caractéristiques de cet art martial

Comparée aux autres styles de boxe, la Muay thaï peut être considérée comme la plus complète. En effet, il est possible d’utiliser notamment les coudes, les tibias et les genoux. Ce qui plait aussi à la boxe thaï est la liberté de mouvement. Sur les sports de combat de l’Asie du Sud-Est, c’est la Muay thaï qui a su se démarquer par rapport à la boxe birmane, la boxe khmère, la boxe vietnamienne ou encore la boxe laotienne. Pour pratiquer la boxe thaï, vous devez toutefois disposer d’un minimum d’équipement.

Les accessoires nécessaires

Vous ne serez jamais au top sans vos accessoires de boxe. C’est d’ailleurs les matériels de boxe thaï qui font souvent la différence entre un nouveau venu et un boxeur avancé. Avant de monter sur le tatami, les boxeurs doivent avant tout choisir leurs gants de boxe et protège-dents. Comme accessoires nécessaires, on peut retrouver le protège-tibia, la coquille, le short de boxe Thaï, les gants de boxe, le protège-dent, les boucliers PAO, des pattes d’ours, des bandages pour les mains, le sac de frappe, la corde à sauter, une serviette ainsi qu’une bouteille d’eau.

Les mollets

Pour faire cet exercice, il faut placer vos deux mains contre un mur avec une jambe en avant et le genou fléchi. Vous devez mettre le poids de votre corps sur la jambe avant et sur les bras. Il n’est pas ici question de basculer le buste vers l’avant. Il faut seulement essayer de rester droit et de regarder en avant. Vous pouvez répéter ce mouvement en étirant l’autre jambe.

Les quadriceps

Pour faire cet étirement, vous devez étirer vos quadriceps debout, en pliant une jambe, puis en saisissant le pied à l’arrière avec une main. Il est possible d’accentuer l’étirement en basculant votre bassin vers l’avant. N’oubliez pas de bien serrer les deux genoux en ayant le buste droit. Après, répétez le même exercice en alternant avec l’autre jambe.

Les adducteurs

En se mettant debout, il faut écarter les jambes et plier un genou tout en basculant la partie supérieure du corps sur le côté et en gardant le buste bien droit. Le but de cet exercice de faire travailler l’intérieur de la cuisse. Pour cet étirement, vous pouvez vous asseoir en mettant en tailleur. Ainsi, en tenant vos pieds avec vos mains, vous devez par la suite tirer vos genoux vers le bas à l’aide des coudes.

Les fessiers

Pour faire les fessiers, vous devez vous asseoir par terre avec deux jambes tendues devant vous. Puis, il faut fléchir une jambe de manière à passer au-dessus de l’autre et de le rapprocher du bassin en collant le genou fléchi à la poitrine. Répétez l’étirement en changeant de jambe.

Un coureur a besoin d’être soutenu

Pendant un marathon, l’aspect psychologique a autant d’importance que l’aspect physique. Souvent, les supporters ne se rendent pas compte de leur rôle à jouer dans la performance des sportifs. Cela aide grandement les coureurs pour se remotiver surtout sur les derniers mètres ou kilomètres du parcours avant la ligne d’arrivée. Alors, lorsqu’il y a une course tout près de chez vous, n’hésitez pas à venir les supporter.

Etre conscience de son impact en tant que supporter

Comme on a déjà vu tout à l’heure, votre présence a un impact sur les coureurs. Cela peut les aider à se dépasser et à être fiers d’eux lorsqu’ils franchissent la ligne d’arrivée. Au lieu de rester chez vous, sortez et supportez les coureurs qui passent.

Les qualités d’un bon supporter

Ici, il n’est pas question d’emporter avec vous votre panoplie de supporter de foot. Pour être un bon supporter, vous ne devez pas être passif et rester là à regarder les passants. En effet, ce que les coureurs recherchent de la part des supports est une chose simple : un applaudissement, des encouragements ou simplement un sourire. À premier abord, ce ne sont que des petites attentions, mais cela aide énormément les coureurs.

Boire de l’eau même en temps froid

Même, lorsqu’il fait froid votre corps a toujours besoin de l’eau. En effet, votre organisme utilise l’eau bue pour se refroidir. Outre cela, l’eau est aussi emmagasinée par votre corps pour réchauffer et humidifier l’air froid et sec. Il est donc recommandé de boire une gorgée d’eau toutes les 15 minutes pour se ressourcer.

Emporter un thermos de thé ou de soupe

Quand le temps est froid, le mieux est de boire chaud. Cela permet entre autres de lutter contre le froid. Pour ce faire, mettez dans votre sac un thermos de thé ou de soupe.

Prévoir des piles de rechange pour votre frontale

Pour un trail de nuit, vous aurez besoin d’une lampe frontale. En partant, il ne faut pas oublier d’emporter avec vous des piles ou des accus de rechange. Notez que les piles de types alcalines perdent leur charge très vite en temps froid. Privilégiez ainsi des piles Lithium, plus chères à l’achat, mais plus résistantes. Faites tout de même attention à ces piles Lithium, puisque ce ne sont pas toutes les frontales qui peuvent supporter leur tension.

Gérer votre sommeil

Il existe des trails dont le départ est à minuit. Dans ce cas-là, vous devez essayer de dormir avant le départ pour mieux gérer votre sommeil. Vous devez essayer de dormir un peu même si vous n’avez pas envie dans l’après-midi ou à l’approche de la course. Pour une course de plus de 10 h, il est conseillé de faire des petites siestes de 15 minutes sur les zones de ravitaillement pour récupérer un peu.

De l’importance de porter des lunettes de natation

Si vous êtes de ceux qui ne préfèrent pas porter de lunettes à la piscine, sachez que vous devriez, et cela, pour deux principales raisons.

Pour protéger vos yeux du chlore

L’eau de la piscine contient du chlore et l’eau de mer est riche en sel. Ces deux éléments sont inconfortables, voire même piquants, pour les yeux si jamais vous ouvrez les yeux dans l’eau. Cela ne reste pas une simple sensation, mais elle peut se manifester par des rougeurs dans les yeux. Si vous êtes un nageur intensif, le chlore peut provoquer des lésions légères. Vous pouvez choisir des lunettes de natation classique, de modèles correctrices, des modèles antibuée.

Pour profiter de plus de visibilité sous l’eau

En portant des lunettes de natation, vous profiterez d’une meilleure visibilité sous l’eau. Avant tout, l’eau ne va pas agresser vos yeux. Par la suite, vous n’aurez plus de mèches de cheveux qui vont tomber sur vos yeux vous forçant à reprendre votre respiration à la surface. Avec des lunettes de natation, vous nagerez avec plus de confort et plus longtemps.

Des différents modèles de lunettes de natation

Il existe une large gamme de lunettes de natation. Si vous pratiquez la natation à l’extérieure, optez pour des lunettes avec des verres foncés. En effet, des derniers vous protégeront des UV. En revanche, si vous êtes un nageur professionnel, des lunettes aux verres durs et profilés vous conviendront parfaitement puisque celles-ci vous offriront une plus grande résistance. Et il y a aussi les lunettes dotées de verres souples et larges. Ces modèles sont à privilégier si vous êtes un nageur occasionnel.
Les lunettes de natation sont aussi disponibles sous de multiples formes. Vous retrouverez principalement sur le marché des lunettes monoblocs, des masques et des lunettes à pont réglables. Pour choisir un de ces modèles, il n’y a pas de critère à prendre en compte sauf bien sûr le goût de chaque nageur.
Enfin, pour ce qui est des joints, vous trouverez sur le marché des lunettes sans joint, des modèles avec joints en mousse et ceux avec des joints en silicone. Mais, sachez que les modèles avec des joints vous assureront une grande étanchéité.

Des critères de choix d’une lunette de natation

Puisque les lunettes de natation ne servent pas uniquement à voir sous l’eau, mais aussi à protéger vos yeux que son choix devrait résulter d’une mûre réflexion.
Avant tout, choisissez une lunette avec la taille adaptée à votre visage. Pour savoir si elle est à la bonne taille ou non, il n’y a pas mieux que l’essayage. Lorsque les ventouses tiennent à leur place alors les lunettes sont à la bonne taille. Par la suite, il ne vous restera plus qu’à régler la sangle.
Par ailleurs, votre choix devra aussi être dicté par la fréquence de vos séances. En effet, il existe des modèles dédiés aux nageurs occasionnels. Ils assurent un confort optimal et sont dotés d’un système de réglage facile à utiliser. Si vous êtes plutôt un nageur régulier, optez pour les lunettes avec un pont de nez souple et avec un champ de vision réduit. Enfin, vous nagez de façon intensive, préférez les lunettes garantissant une adhérence parfaite au visage ainsi qu’un champ de vision précis.
Enfin, il y a aussi la couleur des verres. Son choix devra être dicté par votre lieu de natation. En effet, si vous nagez à l’intérieur, privilégiez les verres clairs. En revanche, si vous nagez à l’extérieur, préférez les verres sombres qui vous éviteront d’être ébloui par l’ensoleillement.